Beaucoup de lieux sont mélangés au moment du départ, des flots furieux battent l'acier des roches, en tout sens, d'acides buissons de groseille, c’est un espace frais étagé de théâtre où l'on entre
J'aime à n’avoir sous l'
effort – ne heurte du sou-
lier que le caillou
effort – ne heurte du sou-
lier que le caillou
banal. L'air est en flamme, une douleur me fulgure à l'épaule, le chemin sans cesse repart dans l'étourdissement des heures qui passent
Quand l'étendue se découvre enfin, des cris stridents déchirent le ciel parfait
Un bond, il faut encore un bond, un dernier rebond par-dessus la tête des sapins, pour entre pierre et neige atteindre le refuge
Le cœur reprend son souffle, accueille la fatigue. Le café brûle dans les mains. La nuit lentement du creux du val que la nuée couvre isole tout
Ma Yuan – Face à la Lune tableau déroulant – encre et couleurs sur soie (fin XIIe – début XIIIe) |
Grand Cahier.077.Dispersion.021.Bifurcation.04