Apprends à vivre avec ce qui te heurte, ce qui te touche et se colle à ta peau.
En bonne intelligence. Elles sont...
Elles ont été si longues ces années !
Laisse les aigreurs, les mauvais sentiments. Tiens-toi dans le retrait, observe et te dégage, il est temps.
Vois comme il progresse dans son âge, comprends ce corps chaleureux si présent dans sa douleur. Qu’il s’en aille où il veut, quand bien même
ce serait vers le mal inéluctable.
De toutes les façons
tu souffriras de ses insuffisances, de sa réclame. Prends comme il va,
son chemin sué de pierres
Marie-Christine Palombit Organique (2013) |
Grand Cahier.327.Dispersion.019.Baumes et regrets.02