Panny Marie před Týnem


Les flèches pavoisées de
Staromĕstské namesti
Brûlent de leurs flammes noires
Les ors de Marie la Vierge
Ou les armes de Jan Hus

Seize cent vingt, les Jésuites
Après la Montagne Blanche
Viennent au Clementinum
Ils vont réformer la ville
A jamais grandie baroque

Non, je n’oublie pas les jours
Trépassés quand meurt une âme
Dans Josefov, quand le juif
Est rejeté de ses portes
Quelle honte Treblinka

Belle est mon amie la slave
Que je rencontrai sur Most
Les touristes sont nombreux...
Moldau ou Vltava ?
« Ik zag Cecilia komen »

Kostel Matky Boží před Týnem
(Staré Město), Praha

Grand Cahier.576.En-tête

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à M.C.



Entre les ronceraies du coteau
Et les cils de la rivière
Ce pommier d’une écorce rude
Où s’attache un gui
Voilà notre vie pleine et nos joies
Ces fruits blancs appendus
Pour une année qui s’achève
Voilà sur le seuil des récoltes
Notre longue patience
Et lié ce vœu
Sous le linteau de la porte