Ah ! Le bel air parfumé du petit sentier, ton emblème où chante la grise, la tourterelle, si précaire si têtue la ligne d'argile à son âme hésitante, et tant de joies, d'efforts avant cet échappée
Chante la chanson fidèle et danse
C'est bref, écoute, regarde, de trop de brusqueries tu gardes la mémoire. Entre deux ciels d'orage, l'oiseau chiffre les soleils prochains
Et le cœur patiente, et le cœur s'atourne. Sur les campagnes sonne le pas. Au levant d'une force un monde se rassemble
Paul Klee Der Hirsch (1919) |
Grand Cahier.255.Cahier bleu-vert.013.Passages.15