Les intentions affines


Ce que tu dis c'est simple c'est qu'il y eut un jour, hyso- pe en ce réduit quatorze rue de Lim., une tournure, un mou- vement de tête, surpris, nouvelle, une vue, et de là, jamais plus lâchée, va débouler jusqu'au cèdre

Ne rien épuiser ni retenir, c'est possible. Nos amis vont parler, nous donnent des conseils. On les écoute car l'oreille est magnanime, mais les chemins s'ordonnent, mais l'ar- mature où trouve-t-elle son hermine ?

Le chant s'élève, les plumes volent. Mordu, ciselé comme à l'angle d'un soleil. Ne cherche pas, voici du pauvre et du fragile, nous sommes forts. Teinte au fond des poches la monnaie de l'empire

Vassily Kandinsky
Impression V (Parc)
(1911)

Grand Cahier.241.Cahier bleu-vert.013.Passages.12

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à M.C.



Entre les ronceraies du coteau
Et les cils de la rivière
Ce pommier d’une écorce rude
Où s’attache un gui
Voilà notre vie pleine et nos joies
Ces fruits blancs appendus
Pour une année qui s’achève
Voilà sur le seuil des récoltes
Notre longue patience
Et lié ce vœu
Sous le linteau de la porte