Cette femme...


Cette femme est suspendue à son lustre, il ne lui reste plus la moindre solution

Il faudra bien la dépendre lorsque plus rien n’éclairera ses angoisses

Breloques, verroteries, pacotilles – vous qui vous jouez de la lumière, vous êtes
le triomphe d’une pièce bourgeoise

Allons prendre le grand air
des routes qui chuintent, fuyons ces mystères, ô poupées de maïs,
retournons vers les champs verts

Max von Moos
Schlangenzauber (1930)

Grand Cahier.187.Dispersion.006.Vulnéraires.12

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à M.C.



Entre les ronceraies du coteau
Et les cils de la rivière
Ce pommier d’une écorce rude
Où s’attache un gui
Voilà notre vie pleine et nos joies
Ces fruits blancs appendus
Pour une année qui s’achève
Voilà sur le seuil des récoltes
Notre longue patience
Et lié ce vœu
Sous le linteau de la porte