La route s'encaisse entre deux gros murs sans apprêt, de bossage franc, surhaussés d'un empilement de briques
Pas une vue qui dévie, un goulet
On va la suivre puisque dit-on, la musique est au bout
Le portail est ouvert, il ne reste rien d’
Autre qu'une enseigne et ses pommes de flammes
Que le corps d'un bâtiment qui s'absente parmi les châ- taigniers du jardin
Que la paille du silence dans les airs
Qu’importe, on va danser tout notre saoul, chasser au loin les amours qui tournent en rond
Paul Cézanne La carrière de Bibémus (1895) |
Grand Cahier.238.Dispersion.024.Vulnéraire.11