Crayonner le visage entrevu devant soi, se décaler un peu, chercher un meilleur angle, et s’il le faut tourner autour.
D’un coup de plume épousseter son paletot.
Un clic, un œil suffisent à nous débarrasser de tout l'ennui du monde
Si jamais l’idéal ne peut être rendu, le son même du cristal résonne au bout des doigts, quand l'éclat des couleurs finit par révéler l’objet
Dans le lointain voyez comme il est, le monde, voyez comme il vit contenu dans l’obscure clarté de l'appareil photographique. Le monde égoïste futile et chaotique
Jean Bazaine Vent sur les pierres (1971) |
Grand Cahier.483.Dispersions.023.Instantanés.13