Indulines pensées qui forcez le passage, vous re- prendrez le ciel, vous, timides, allantes sous les arceaux du pré
Rafflesias trop larges, lippues, briques au pied de vigne, nœuds pape des moussons, quel climat pestilentiel et vorace !
Et vous, chrysanthèmes, crocs du guerrier, j'aime la rigueur de vos traits, l'ordre à la courbe d'un pétale, vous soumettrez la pierre au sabre
Cérase, couleurs naissantes, aubes sur un jardin de Kobori Enshù, près d'une maison de papier
Kobori Enshù 「永井信濃守宛消息」 |
Grand Cahier.230.Refonds.001.Solitudes.06