Il y a beaucoup trop de blanc
De cris d’ivoire en haut des toits
Comment pourrais-je regarder ?
Je ferme l’œil au blanc qui hurle.
Que puis-je espérer des fumées
Des suies du foyer qui s’élèvent
L’air est une étoffe d’eau grise
Le dernier coin de bleu s’efface
Un froid intense s’est blotti
Au carré neutre du clocher –
Roux de gueule chassant qui passe
Les aboiements furieux d’un chien
De mur en mur se répercutent
Vont se perdre dans les lointains
De cris d’ivoire en haut des toits
Comment pourrais-je regarder ?
Je ferme l’œil au blanc qui hurle.
Que puis-je espérer des fumées
Des suies du foyer qui s’élèvent
L’air est une étoffe d’eau grise
Le dernier coin de bleu s’efface
Un froid intense s’est blotti
Au carré neutre du clocher –
Roux de gueule chassant qui passe
Les aboiements furieux d’un chien
De mur en mur se répercutent
Vont se perdre dans les lointains
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Paul Klee « L'homme approximatif » de Tristan Tzara (1931) |
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