Entonner, les poumons sertis dans les griffes d'un ciel qui n'est plus que ceinture grise, trop serrée courbant trop la taille du territoire, faire naître éveiller malgré ce poids, le chant pour une danse, soit le poème ; tel, nous voulons, songeant méditant pour venir aux approches, aimer comme le soc d'une charrue aime les lèvres du sillon, la graine et les corbeaux qui suivent, immanquablement ; tel, nous nous laisserons jusqu'au tard, jusqu'à la nuit de tout le jour qui accompagne ta démarche depuis l'inoubliable souffrance qui te fit, être
Grand Cahier.082.Cahier bleu-vert.013.Passages.09