L'été a chuté par la fenêtre
a décliné de désespoir
la fenêtre grande ouverte
tout est épuisé
tout a été consommé
au fond du puits,
rien
ne reste plus
qu’une eau salie nue
écalée sous les talons du sel
Il n’y a plus rien à pardonner,
plus rien à oublier,
que reste-t-il à partager ?
Ne veux-tu pas pleurer,
ne veux-tu pas chanter
le soir rougit par la fenêtre
Quelque chose pourrait-il
s’annoncer encore ici
un ailleurs existe-t-il ?
Allons-nous-en ma sœur,
recouvrons la liberté,
et qu’une musique à chacun
accorde sa mesure
a décliné de désespoir
la fenêtre grande ouverte
tout est épuisé
tout a été consommé
au fond du puits,
rien
ne reste plus
qu’une eau salie nue
écalée sous les talons du sel
Il n’y a plus rien à pardonner,
plus rien à oublier,
que reste-t-il à partager ?
Ne veux-tu pas pleurer,
ne veux-tu pas chanter
le soir rougit par la fenêtre
Quelque chose pourrait-il
s’annoncer encore ici
un ailleurs existe-t-il ?
Allons-nous-en ma sœur,
recouvrons la liberté,
et qu’une musique à chacun
accorde sa mesure
![]() |
Loïc Le Groumellec Mégalithes (2004) |
Grand Cahier.056.Révolvie.032.L'univers de la chauffe.18