Rien n'est montré de ces trois gouttes
Le signe se retrousse,
robe qui révèle et ne dérobe
Sa présence s'efface et le lévrier du temps s’élance, poursuivant une trace, flairant avide
ce qui fut après qu’il s'est retiré, alors qu’il n’est plus là, ce qui sera, quand
– de retour à lui-même – il vivra son absence
lorsqu'en réalité, le signe se déchire
le réel ni dehors ni dedans, le rien, le peu qui reste se montre
nu sous le gel, jeté là au sortir du temps
alors que rien n'est plus à dire,
stupéfié
*
La gente fu ferue el col,
i seinna .iii. gotes de sanc
qui espandirent sor le blanc,
si sanbla natural color.
Chu Teh-Chun Composition n°62 (1960) |
Grand Cahier.643.Ajouture.001.D'autres lisards.04