OLHO, COMO NUMA EXTENSÃO AO SOL QUE ROMPE NUVENS, A MINHA VIDA PASSADA
Une bruine de soleil soudain
traversant les nuages
expose la ville indubitable la ville
où je vis au grand jour
À la surface remontent
bien des indécisions de mon passé
Une chose est certaine pourtant, celle
que l’on voit depuis le pont
qui enjambe
une eau toujours nouvelle
Cette ville où je suis et qui m’est inconnue
– Sans mémoire,
étranger ne sachant pas comment
il a pu parvenir
jusqu’ici –
Car s’ignorer soi-même c’est vivre,
traversant les nuages
expose la ville indubitable la ville
où je vis au grand jour
À la surface remontent
bien des indécisions de mon passé
Une chose est certaine pourtant, celle
que l’on voit depuis le pont
qui enjambe
une eau toujours nouvelle
Cette ville où je suis et qui m’est inconnue
– Sans mémoire,
étranger ne sachant pas comment
il a pu parvenir
jusqu’ici –
Car s’ignorer soi-même c’est vivre,
s’affairer c’est le lieu du penser. La seule pensée le seul souci pour la plupart. Mais cette bruine d’un seul coup
lustrale
c’est notre motion
c’est notre motion
Notre monade la plus intime et la plus extrême, terre ouverte tout autant que fermée
Le cri remonté du fond de l’âme
SABER DE SI, DE REPENTE, COMO NESTE MOMENTO LUSTRAL, É TER SUBITAMENTE A NOÇÃO DA MÓNADA ÍNTIMA, DA PALAVRA MÁGICA DA ALMA
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| Pascal Brachet Ciel de Paris I (2018) |
Grand Cahier.610.Alentour de Soares.043.Quelques intranquillités.02
