Assis dehors emmitouflé dans la froidure, j’écoute l’hiver ce qu’il dit ce matin
et je n’entends que le combat
des chants d’oiseaux
Rien n’est encore décidé
des chants d’oiseaux
Rien n’est encore décidé
La sirène d’alarme des humains sur le carreau du toit d’ardoises est silencieuse
– le cercle suspendu des lettres ballotte dans l’air gelé, le ruban rouge des travaux l’entoure –
En cet instant, rien n’est à craindre
Julius Baltazar Storm on Hu-Tu-Fu (1993) |
Grand Cahier.683.Intérieurs, Extérieur Voix.003.D'un autre lisard.06