Féroce rassemblée, la meute
à l’orée du bois Clairs, des feux
dénués de sens
/ des feux encerclent la victime
La meute des vagues déferle
sur l’estran, dénuée de bleu
écume aux dents
/ des mots de mort
réapparaissent lentement
où la vague reflue, laissant
les os d’une carcasse
/ halo de lunes sur le sable
à l’orée du bois Clairs, des feux
dénués de sens
/ des feux encerclent la victime
La meute des vagues déferle
sur l’estran, dénuée de bleu
écume aux dents
/ des mots de mort
réapparaissent lentement
où la vague reflue, laissant
les os d’une carcasse
/ halo de lunes sur le sable
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| Gustave Courbet La mer orageuse ou La vague (1869) |
Grand Cahier.658.Intérieurs Extérieur Voix.044.D'un autre lisard.19