D'un mot tu reprends vie
et revient
vers le cours des eaux
transparentes du ruisseau,
(d'un mot perdu et
retrouvé)
Va-t-il verser des pleurs
sans nous montrer
le chemin
la maison, le motif attendu
– ton visage
Ils sont oubliés
les aléas du voyage,
et les mauvaises nourritures
lorsque la fatigue s’en va...
Que ce repas que tu prépares
nous fasse la coupure
d’une bonne parole,
et pose dans le blanc,
dans son espace une lumière
immarcescible
loin des macules des travaux,
de cette indifférence
des jours ternes et gris,
de nos échafaudages bâtis
contre les murs
du réel
et revient
vers le cours des eaux
transparentes du ruisseau,
(d'un mot perdu et
retrouvé)
Va-t-il verser des pleurs
sans nous montrer
le chemin
la maison, le motif attendu
– ton visage
Ils sont oubliés
les aléas du voyage,
et les mauvaises nourritures
lorsque la fatigue s’en va...
Que ce repas que tu prépares
nous fasse la coupure
d’une bonne parole,
et pose dans le blanc,
dans son espace une lumière
immarcescible
loin des macules des travaux,
de cette indifférence
des jours ternes et gris,
de nos échafaudages bâtis
contre les murs
du réel
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| Joachim Patinier "Patinir" Paysage avec saint Christophe (~1483-1524) |
Grand Cahier.676.Intérieurs Extérieur Voix.045.Corps et visages.37