La chambre a fraîchi
plus fraîche que le jour qui blanchit par la fenêtre
Le ciel nocturne se déchire
plus fraîche que le jour qui blanchit par la fenêtre
Le ciel nocturne se déchire
agrémenté sur l’un de ses bords, d’un parsemé d’étoiles, d’une ligne de rose qui s'étire
Je me penche au dénoué de ton âme ta joue a les couleurs de l'aube caressante, tu ouvres une paupière…
Ce qui d’un coup s’envole fait battre mon cœur
– Toujours
est un moment de sommeil qui s’accoude
lorsque se découvre l’aile d’un si beau corps
où l'or et l'ombre jouent
– Toujours
est un moment de sommeil qui s’accoude
lorsque se découvre l’aile d’un si beau corps
où l'or et l'ombre jouent
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Henri Fantin-Latour Le lever (1872) |
Grand Cahier.094.Révolvie.030.Les effets de l'aube.07