Sur le couvert des ardoises qui s'incline,
La griffe d’un oiseau de neige s’endort.
Les corbeaux d’hiver accentuent le contraste,
Leur livrée triste s’agace au bord du toit.
Une cheminée fume. Quelques brindilles
Vont - encore un temps - crépiter dans les flammes,
Rendre l’or d’un été excessif
Les bois de l’hiver ont noirci les chemins,
Les chemins ébouriffés et creusés d'ombres.
Sur la gouttière la neige tourbillonne.
Un souffle très léger de plumes se pose.
Par la lucarne se profile les arbres
Ou la clôture du jardin. La barrière
S'ouvre sur un ciel plus sombre encore
La griffe d’un oiseau de neige s’endort.
Les corbeaux d’hiver accentuent le contraste,
Leur livrée triste s’agace au bord du toit.
Une cheminée fume. Quelques brindilles
Vont - encore un temps - crépiter dans les flammes,
Rendre l’or d’un été excessif
Les bois de l’hiver ont noirci les chemins,
Les chemins ébouriffés et creusés d'ombres.
Sur la gouttière la neige tourbillonne.
Un souffle très léger de plumes se pose.
Par la lucarne se profile les arbres
Ou la clôture du jardin. La barrière
S'ouvre sur un ciel plus sombre encore
Afro Basaldella Jardin de l'espérance (1958) |
Grand Cahier.042.Révolvie.002.Maisons de verre.10