Une étoile scintille au travers de la vitre...
Une larme longtemps persiste au coin de l’œil
Aucun rempart doré n’existe dans la nuit
Aucun mot n’existe, tous les mots sont usés
Le cadre de la vitre est noir infiniment
Nul jamais ne s’appuie au mur d'éternité
L'écart est grand, si prodigieuse est la distance
L'esprit s'endort. Que pourrait-il imaginer ?
Une eau du fond du puits remonte cristalline
Un froid va se loger dans l'angle du jardin
Une larme longtemps persiste au coin de l’œil
Aucun rempart doré n’existe dans la nuit
Aucun mot n’existe, tous les mots sont usés
Le cadre de la vitre est noir infiniment
Nul jamais ne s’appuie au mur d'éternité
L'écart est grand, si prodigieuse est la distance
L'esprit s'endort. Que pourrait-il imaginer ?
Une eau du fond du puits remonte cristalline
Un froid va se loger dans l'angle du jardin
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Mark Rothko Blue, Green, Brown (1952) |
Grand Cahier.150.Révolvie.034.Le horzain.18