Je dis qu’il faut être... Veillant
professeur de sensualités
Réveilleur des émotions d’une âme endormie
Babillard remuant bras et jambes
dans le berceau de la nature
Je dis qu’il faut aimer aussi
la paisible férocité du jour
comme des nuits
Le jeu continu des couleurs
La profondeur de l’infini
Les beautés diverses du monde
La lumière oubliée qui montre
des Espaces
inconnus
Le lieu de notre jour et notre unique vue
professeur de sensualités
Réveilleur des émotions d’une âme endormie
Babillard remuant bras et jambes
dans le berceau de la nature
Je dis qu’il faut aimer aussi
la paisible férocité du jour
comme des nuits
Le jeu continu des couleurs
La profondeur de l’infini
Les beautés diverses du monde
La lumière oubliée qui montre
des Espaces
inconnus
Le lieu de notre jour et notre unique vue
Robert William Buss Le rêve de Dickens (1875) |
Grand Cahier.604.Révolvie.005.Vauverts.15