Harassé d'une marche trop longue, Tao Yuanming près de l'étang vint s'asseoir
L'ombre était apaisante des saules
Il prit sa cithare et joua dans la clarté du jour, mêlant et notes et chant d'oiseaux et clapotis des vagues
Flore et faune l'écoutèrent
Plus aucun nuage dans le ciel n'osa bouger
Le désordre des choses disparu, Tao s'endormit sous l'osier des saules toujours vert
Auprès de lui, la cithare avait perdu ses cordes
Tao Yuanming appuyé contre un roc par Fan Zeng (1980) |
Grand Cahier.419.Les jardins sont un langage.001.l'Humble Administrateur.07