Faut-il pour lui rendre justice,
oblitérer cette ouverture
qui seule
lui appartient, balafrer le sourire
d'une si mobile statuaire
par les formes de l'art ou la science,
l’arracher à son achèvement
lui imposer une éternité
qui la rend au temps
et lui promet la ruine,
l’abandon du déchet,
ou faut-il se venger et la
laisser mourir, semblable au destin
qui bien sûr n'existe pas
et à la chute du pauvre homme,
statue de plâtre défigurée,
n’entends-tu pas la voix qui hurle
oblitérer cette ouverture
qui seule
lui appartient, balafrer le sourire
d'une si mobile statuaire
par les formes de l'art ou la science,
l’arracher à son achèvement
lui imposer une éternité
qui la rend au temps
et lui promet la ruine,
l’abandon du déchet,
ou faut-il se venger et la
laisser mourir, semblable au destin
qui bien sûr n'existe pas
et à la chute du pauvre homme,
statue de plâtre défigurée,
n’entends-tu pas la voix qui hurle
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| Igor Mitoraj Lumière de la lune (1991) |
Grand Cahier.694.Intérieurs, Extérieur Voix.045.17