Dans ce couloir de terre battue où je passais
il y avait foule,
une chaleur une poussière, des éclats de voix des souffles, et le désordre des sabots. Je commandai un cornet de frites
à ce braillard vendeur, sans jamais n’y rien comprendre – de ses proférations. Mais
ce fut une joie (cavalier) de l’a-
dresser ainsi
Sur les gradins de l'arène emportés par l’atmosphère, des spectateurs habillés en cow-boys, debout me bouscu- lèrent.
À leur choix, il fallait que j’applaudisse
– Truqué, dis-je !
Ah ! les chevaux blancs sur des kilomètres de
sable Ouistreham
sable Ouistreham
Chuck Middlekauff Another One Bites the Dust - Encore un qui mord la poussière (1980) |
Grand Cahier.449.Parallèle 37.005.Éparses.03